J’aime quand on me dit “impossible” — ça veut dire que je suis sur la bonne voie.
J’aime quand on me dit “impossible” — ça veut dire que je suis sur la bonne voie.
En 2011, j’ai décidé d’acheter deux biens immobiliers.
Seule.
En même temps que je lançais mon entreprise.
Sur le papier, c’était déjà un défi.
Dans la réalité, c’était presque impossible.
J’étais une femme célibataire avec un enfant.
Une catégorie que les banquiers financent rarement.
J’ai entendu des refus polis… et d’autres moins polis.
On ne voyait pas “une investisseuse”.
On me testait, on me décourageait, parfois même on me faisait la leçon.
Mais je n’ai pas lâché.
Chaque rendez-vous, chaque obstacle, chaque “non” m’a rendue plus déterminée.
J’ai fini par obtenir ces financements.
Et j’ai continué.
Année après année, j’ai bâti un patrimoine immobilier important.
Toujours seule.
L'impossible, ça se travaille :
Étape 1 – Comprendre le terrain de jeu : fiscalité, comptabilité, règlementation, urbanisme...
Étape 2 – Monter un dossier solide, bétonné, argumenté.
Étape 3 – Ne jamais lâcher, même face aux refus.
Ce que ça m’a appris :
– Rien n’est impossible même dans des contextes complexes
– Ne pas reculer face aux stéréotypes et les obstacles car ce sont souvent des tests de persévérance.
– La différence se joue dans la capacité à agir malgré l’incertitude et peu importe la difficulté
J’ai fini par décrocher mon premier financement.
Et depuis, ce premier “impossible” est devenu le point de départ d’un patrimoine immobilier important, bâti pierre par pierre, toujours seule.
Et c’est aussi ce dont je parlerai dans une série de prochains posts :
"ne rien lâcher", même quand tout semble dire que c’est impossible.
Et vous, quel est votre dernier “impossible” réussi ?